Nos bonnes volailles Père Dodu
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Nos bonnes volailles Père Dodu
"Le Groupe Doux (Père Dodu) est en redressement judiciaire. Beaucoup d'éleveurs, victimes d'impayés de la part de l'entreprise, réclament des garanties pour leurs créances pour continuer à travailler avec le Groupe. La société emploie 3.400 personnes en France. Le personnel a vu réduire son temps de travail. Une première vague de licenciements est annoncée.
Doux quitterait le Brésil où il réalise la moitié de son activité, et emploie 6.400 personnes.
La société Doux s'est installée au Moyen Orient et en Russie en 1970, et au Brésil en 1998. Mais son endettement s'est accru.
Cette situation met en difficulté les éleveurs français travaillant avec le Groupe Doux. Le président de la FNSEA, était hier soir dans une ferme avicole près de Guingamp (22), pour apporter son soutien aux éleveurs de volailles. Selon lui, 60% de la dette est au Brésil, et ce n'est pas aux éleveurs français de payer les dettes contractées ailleurs. Dans la matinée, le ministre de l'agriculture avait plaidé pour un report des charges".
Qui va payer ?
Bisous.
Doux quitterait le Brésil où il réalise la moitié de son activité, et emploie 6.400 personnes.
La société Doux s'est installée au Moyen Orient et en Russie en 1970, et au Brésil en 1998. Mais son endettement s'est accru.
Cette situation met en difficulté les éleveurs français travaillant avec le Groupe Doux. Le président de la FNSEA, était hier soir dans une ferme avicole près de Guingamp (22), pour apporter son soutien aux éleveurs de volailles. Selon lui, 60% de la dette est au Brésil, et ce n'est pas aux éleveurs français de payer les dettes contractées ailleurs. Dans la matinée, le ministre de l'agriculture avait plaidé pour un report des charges".
Qui va payer ?
Bisous.
mesange- Messages : 495
Date d'inscription : 01/02/2012
Age : 87
Localisation : près de Lyon
Re: Nos bonnes volailles Père Dodu
J'estime que cette société "Père Dodu" a eu les yeux plus grands que la bouche dans cette situation.
Au lieu d'investir partout dans le monde, elle aurait dû préserver la maison mère bretonne de Chateaulin avec tous ses salariés.
Non seulement, cette dernière se trouve actuellement en difficulté, mais aussi toutes les autres entreprises. Je suis scandalisée par ce manque de discernement des dirigeants de cette grosse firme, car comme tu le dis, qui va payer maintenant ?
Notre nouveau gouvernement va-t-il encore nous taxer pour relever tout cela ?
Bisouuus
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